Montres
Produit 2019
Homme, Femme

Casio Pro Trek WSD-F30

Casio, leader historique des montres d’aventure a cédé le terrain de l’outdoor à Garmin, Suunto et Polar. Pourtant, la série Pro-Trek, rendue célèbre par le Raid Gauloises (la marque était partenaire de l’épreuve mythique) n’a pas dit son dernier mot. Les produits de la marque japonaise se focalisent plutôt sur l’orientation/cartographie que l’entrainement. L’équipe de Test4outside.com a eu l’occasion de tester pendant plusieurs mois la nouvelle Casio WSD 30. Voici l’essai terrain.

 

Le préalable avant toute utilisation, charger la montre, CQFD. Trois bonnes heures sont nécessaires pour une charge complète. CASIO n’a malheureusement pas fait évoluer sa connectique magnétique, et si l’on ne fait pas attention le câble se détache très facilement empêchant le chargement. On faut donc veiller à stabiliser la montre pendant cette opération. CASIO devrait proposer un système pour maintenir le câble en place.

 

 

Tout comme pour ses prédécesseurs (la F10 et la F20), la mise en route, la prise en main et la connexion à Wear OS (la couche logiciel qui permet de synchroniser la montre au smartphone) sont très simples, guidées et intuitives.
Le smartphone doit bien sûr être à portée de main pour cette installation (synchonisation des comptes mails, contacts …etc.)

Une fois ce premier paramétrage effectué, tous les menus et différents écrans de la montre sont accessibles.

CASIO a conservé la logique des modèles précédents : un écran tactile sur lequel on clique pour sélectionner, on effectue un balayage de droite à gauche ou de haut en bas pour changer les menus ou un appui long sur l’écran pour changer de cadran de montre.
Trois boutons (dont deux paramétrables) permettent d’accéder par défaut :
– à la cartographie de base (location memory)
– aux outils (boussoles, altimètre…)
– aux applications et paramètres.

 

 

Depuis le test de la CASIO F20 effectué en 2017, quelques heures ont été nécessaires pour appréhender à nouveau la logique d’utilisation de la montre.
Ceci étant dit, le quickguide à télécharger sur le site CASIO est plutôt bien fait et présente comment naviguer dans toutes les fonctionnalités de base de la montre.

Le mode d’emploi (à télécharger également) décrit les fonctions plus précisément (navigation GPS, application activité…)
La logique de cette montre est bien différente des autres modèles du marché (Garmin, Suunto, Polar…).
Par conséquent, il est recommandé de bien suivre les instructions des premières pages.

 

 

Voici les nouveautés par rapport aux premières versions (2017) des modèles F20 précédents :

– amélioration de la définition de l’écran. La montre est équipée d’un écran couleur OLED (LCD sur la F20) avec une résolution de 390 x 390 pixels (au lieu de 320 x 300 pixels).
Les fonctions tactiles en sont améliorées sensiblement mais, la plupart n’étant pas accessibles par les boutons, l’écran tactile reste un problème pour une montre outdoor, notamment en hiver, et qui plus est, avec des gants …

– Quelques cadrans de montre nouveaux dont un, «2LAYERS», qui fournit en plus de la montre des infos comme altimètre et boussole.

– la fonction « ok Google » (assistant Google) a été intégrée avec WearOS (accessible par balayage droit de l’écran tactile)
On peut noter que la synthèse vocale est excellente, que ce soit pour l’assistant Google ou la dictée de message sms.

– Trois modes différents d’économie d’énergie :
1er mode : mode normal (montre connectée. 1,5 jours d’autonomie. Légèrement améliorée par rapport à la CASIO F20)

2eme mode : « mode étendu » (3 jours dont 8 heures d’utilisation GPS, mais avec uniquement trois intervalles de mesure GPS 1MIN 6MIN 10MIN)
Certes, dans ce mode on double l’autonomie mais la programmation des plages d’utilisation et de pause est contraignante et limitée par rapport à une activité réelle lors d’un trek ou d’une sortie montagne.
Il faut définir un projet :
– une période d’activité
– une période de pause
– une autre période d’activité.
Mode très contraignant qui ne laisse pas de place à l’erreur, le retard, ou simplement à l’improvisation sur le terrain.

En outre dès la mise en route du mode étendu, la montre passe automatiquement en mode «montre seule» jusqu’à la première période d’activité.

Si l’on souhaite refaire un point, il faut alors redémarrer la montre…

3ème mode : « appareil horaire multifonctions », en gros une montre simple déconnectée (deux options : outdoor avec altimètre et boussole, ou quotidienne : juste la montre)

Pour gérer l’autonomie, nous aurions préféré que Casio crée un seul mode qui présente toutes les fonctions consommatrices d’énergie (GPS, assistant Google, notifications, bluetooth, wifi) et propose de les activer/désactiver en fonction de l’utilisation souhaitée, en indiquant un gain en autonomie, indicatif, comme le font les smartphones.

(Voir le test de l’autonomie dans le chapitre suivant).

– un mode « Neige » en plus des modes « Randonnée », « Pêche », «Cyclisme »
dans l’application « activités », toujours paramétré par l’application CASIO MOMENT SETTER.

– Navigation
On peut avec la F30 lors d’une randonnée spécifier un point sur la carte de l’application « memory location » et naviguer jusqu’à lui.
(Voir le test de navigation dans le chapitre suivant).

 

 

 

Sur le terrain.

Dans un premier temps, nous avons testé les différentes fonctions et le côté pratique de la montre sur des petites sorties. Nous nous sommes également concentrés sur la navigation, les autres fonctions n’ayant que peu évolué.

La montre reste assez massive (pas facile à glisser sous un vêtement à manche longue) mais pas trop lourde.
Le confort du bracelet d’origine est à revoir. Après quelques heures au poignet, on peut regretter un certain inconfort, voir quelques irritations probablement dues au plastique dur du bracelet.

Le bracelet est facilement remplaçable, CASIO devrait proposer des modèles de bracelet tressés, plus confortable et qui permettraient de mettre la montre par dessus la manche d’une doudoune par exemple.

 

La carte par défaut (location memory), malgré une définition accrue de l’écran par rapport aux modèles précédents, compte tenu de sa petite taille, reste assez peu exploitable. Juste utile pour connaitre sa position et éventuellement la reporter sur un système plus lisible.

Nous avons téléchargé l’application android Viewranger afin d’aller plus loin dans les fonctions de cartographie.
Les fonctions de zoom sont les mêmes que celle de l’application par défaut location memory (pictos loupe, + et -).
Et pour déplacer la carte, on appuie une fois sur l’écran puis on balaye l’écran dans la direction souhaitée.

 

 

Téléchargement des cartes :

Une fois Viewranger installé, il faut choisir la zone à télécharger (smartphone, Wifi et Bluetooth nécessaires, donc opération à faire à la maison).

Sur la montre, nous avons choisi les cartes «paysages Viewranger» dont la définition est proche de celle des cartes IGN (courbes de niveau tous les 10m) sans pour autant l’égaler en termes de précision.

La zone a une limite indiquée par un rectangle rouge sur la carte.

 

Télécharger toute la zone « Vercors » sur Viewranger représente environ 10000 tuiles et l’upload a duré environ 30 min en WIFI.

Si l’on souhaite les cartes IGN, une année d’abonnement au portail IGN est proposée à 17,38 euros.

Il est possible de télécharger une zone IGN assez large (Nous avons fait l’essai et téléchargé 4200 tuiles (Vercors) de la carte IGN France en 20 minutes. Lors du téléchargement la montre indique «too many tiles» si la zone est trop grande.

 

 

Une remarque quant à la sensibilité du GPS :
En intérieur près d’une fenêtre, nous n’avons pas réussi à obtenir un fix, alors qu’en parallèle sur un smartphone (sans wifi) Viewranger se calait correctement sur la bonne position.
Il aura fallu connecter la montre en bluetooth avec le smartphone pour qu’elle se cale.
En extérieur le GPS, sans connexion au smartphone, la montre se cale correctement en 1 ou 2 minutes maximum.
Attention à bien avoir téléchargé au préalable (lors de la préparation de la sortie) la bonne zone de la carte.

Autonomie :

Première journée d’utilisation, réglage, test des fonctions différentes, carte utilisée pendant trois heures, chargement d’une petite zone de carte, utilisation de l’assistant Google une dizaine de fois, mode connecté pendant les 3/5eme de temps : toute la batterie y est passée….
Il est possible d’optimiser légèrement cette durée en utilisant l’option « batterie » pour le GPS afin de privilégier un mode économique au détriment de la « précision » (autre option).

 

Test sur une sortie en ski en «mode normal» :

Pour réaliser ce test, nous avons choisi le « mode normal » (montre connectée GPS actif).
La batterie indiquait 100% à 10h du matin. Deux heures plus tard (une montée ski de rando avec trace Viewranger et une descente de piste avec Skitracks), la batterie a accusé environ 25% de perte.
La montre n’a pas été rechargée jusqu’au lendemain matin ou nous avons simulé une activité cyclisme pendant 45min, avec au préalable le paramétrage sur la montre de CASIO MOMENT CENTER.

 

A la fin de ce test, il restait moins de 20% de batterie.
A midi (26 heures), après en gros, 3 heures sur 26 d’activité forte sur le GPS et les applications, on avait consommé 90% de la batterie sachant que le cadran de montre utilisé était le nouveau cadran deux couches qui indique altitude et boussole en plus de la montre (celui qui est utilisé par la montre dans le mode « appareil horaire multifonction », censé être moins consommateur).

La gestion de l’autonomie a été modifiée mais si l’on doit utiliser la navigation pendant une longue randonnée (6 à 8h), avec recherches de points, utilisation de la trace et des outils (boussole…), il vaut mieux être prudent et avoir un chargeur supplémentaire.

Autre solution, passer en mode étendu mais avec un point GPS toutes les 1min 6min ou plus… et avec un résultat escompté de trois jours dont 8 heures d’utilisation GPS.

 

 

Casio s’apprête à mettre sur le marché une pince qui permet de connecter la montre à une alimentation externe : batterie. Nous avons pu nous en procurer une, dès le test réalisé, on publie le retour d’expérience terrain.

 

Test du mode étendu

1ertest

Réglage du mode étendu avec un démarrage à 13 heures, une pause à 17 heures et une reprise à 18 heures, avec un point GPS toutes les minutes. Au moment du démarrage, la montre affiche 79% d’autonomie et  passe en mode «montre seule» indiquant le temps avant le démarrage de la trace.

Pendant la trace, nous avons à plusieurs reprises visualisé la position sur la carte, il fallait attendre que le GPS se cale (donc toutes les minutes avec l’option choisie, sinon il faut attendre 6 minutes – option 2 – … 6 minutes à attendre c’est long), nous  avons accédé également aux routes téléchargées et fait différentes manipulations.

 

 

Toutes les fonctions sont disponibles (Boussole, altimètre ..) mais l’application «location memory » ne l’est pas». Pour quelle raison ? C’est la seule qui permet pourtant d’aller vers un point défini sur la carte.

Arrêt du mode étendue vers 19 heures, donc 5 heures de fonctionnement en mode étendu, la montre affiche 50%.

En gros, on a doublé l’autonomie par rapport au mode normal, 29% de la batterie en 5 heures d’activité.

 

2ème test

Sortie Ski de randonnée avec un démarrage à 9 heures, une pause à 13 heures et une reprise à 13H30, avec un point GPS toutes les minutes. Au moment du démarrage la montre affichait 93% d’autonomie.

Nous nous sommes attachés à ne pas trop utiliser les différentes fonctions de la montre, juste une visualisation de la position toutes les heures.

Nous avons arrêté l’enregistrement au bout des quatre heures de courses, la montre affichait 79% de charge.

En gros 15% de la batterie en 4 heures.

 

On pourrait extrapoler de ces 2 tests, qu’en mode étendue, sans trop utiliser les différentes fonctions, la montre tienne entre 20 et 25 heures d’activité GPS, avec un point GPS toutes les minutes.

Si l’on souhaite tenir 4 jours à raison de quatre à cinq heures d’activité GPS par jour, il faudra sans doute combiner plusieurs modes :

– mode étendu pendant 5 heures par jour (GPS toutes les minutes, et mieux toutes les 6 minutes)

– mode « appareil horaire multifonctions » option outdoor, le reste du temps pour limiter la consommation.

 

Un test sur 4 jours a été réalisé pour vérifier cette hypothèse.

Début du test 19 mars 7h15. 97% de batterie
Mode étendu : 11h 12h30 – 15h30 (5h d’utilisation point GPS toutes les minutes)
Mode appareil horaire multifonction à partir de 19h.

20 mars 7H15. 65 % de batterie
Mode étendu 7h15 – 10h 12h.
Mode appareil horaire multifonction de 14h à 17h.
Mode étendu de 17 à 19h.
7h de mode étendue point GPS toutes les minutes
A 19 heures, il reste 34% de batterie.
Passage en mode appareil horaire multifonction.

Le 21 mars à 22h30.
Mode appareil horaire multifonction. Pas d’activité.
Il reste 31% se batterie.

Le 22 mars mode normal. Pas d’activité de suivi. Le soir, il reste 11% de batterie.

Sur 4 jours, avec quatre intervalles de temps en modes étendu correspondant aux périodes d’activités, représentant environ 12 heures d’utilisation du GPS, le reste du temps la montre étant en mode appareil horaire multifonction pour éviter la consommation, la montre a tenu quatre jours.

Attention, il faut quitter le mode appareil horaire multifonction et démarrer le mode étendu MANUELLEMENT.
On ne peut pas enchainer ces deux modes alternativement et automatiquement.
La gestion de la batterie et des différents modes nécessitent beaucoup de pratique pour caler le réglage en fonction de son activité.

 

 

Retour sur l’application skitracks.
Lors de notre test en ski nous avons testé l’application SKITRACKS.
En fait, l’application sur la montre ne permet que de commander le démarrage de l’enregistrement, la pause et l’arrêt sur le téléphone ainsi que visualiser les données du parcours.
Si vous n’êtes pas connectés en bluetooth sur la montre, l’enregistrement ne se fera pas. L’enregistrement est toujours stocké sur le smartphone.

Intérêt très limité, CASIO devrait proposer plus d’applications STANDALONE à l’instar de viewranger.

 

 

Lisibilité:
En plein soleil, luminosité à fond, la plupart des écrans proposés restent peu lisibles malgré ce nouvel écran OLED. Il faut souvent incliner la montre en fonction de la lumière car il y a beaucoup de reflets et le contraste de ce type d’écran reste insuffisant (excepté finalement pour l’affichage de la carte IGN qui s’en sort très honorablement sur cet écran).

Navigation:
Comme toutes les montres de cette catégorie, il faut lors de la préparation de la sortie télécharger les routes (itinéraires ).
Pour ce faire le smartphone doit être connecté en bluetooth.
Le gros avantage de la CASIO est de pouvoir télécharger aussi les cartes et les utiliser hors ligne (sans smartphone).

 

 

Sur l’aspect navigation, nous avons pu noter cette évolution par rapport aux modèles précédents:
Il est désormais possible, lors d’une randonnée, de  spécifier un point sur la carte de l’application « memory location » et naviguer jusqu’à lui.

Il faut utiliser le menu «naviguer jusqu’à un point», le positionner en cliquant sur la carte et lancer la navigation. (PHOTOS)
La montre indique en guise de direction à suivre, des pointillés jusqu’au point ciblé (les pointillés ne suivent pas les chemins mais une direction sur la carte, donc méfiance), et  une indication par un triangle bleu de notre orientation.

 

 

Mais il n’y a ni flèche orientée comme sur une boussole, ni cap précis à suivreavec une cartographie interne (memory location) dont la définition est loin d’être aussi fine qu’une carte IGN.

Ce n’est pas très pratique ni précis sur le terrain, et il sera nécessaire de reporter sa position sur une carte plus grande afin de pouvoir envisager le meilleur itinéraire possible pour éviter par exemple les barres rocheuses, suivre les cours d’eau, passer dans une combe etc…

 

Le GPS semble fiable (sur le terrain) mais ne donne pas de précision (en mètre) sur la position.

 

L’application viewranger embarquée, est malgré tout plus précise, même s’il n’existe pas de fonction permettant d’aller vers un point, ni de trace back.

On est quand même notifié par la montre, lorsque la route franchit un point de l’itinéraire chargé.

 

Cela reste malgré tout peu aisé de suivre une trace compte tenu de la taille réduite de l’écran.

 

 

Nos premières conclusions après plusieurs semaines avec cette montre :

Le « + » incontestable de CASIO est de proposer une montre autonome avec cartographie :

 

Soit via l’application «location memory» (la plus simple et moins précise),

 

Soit via l’application viewranger totalement STANDALONE, la définition accrue de l’écran permettant de zoomer sur un passage. La carte « paysages Viewranger » de base (gratuite) présente une définition très convenable (lignes de niveau tous les 10m).
Les points d’un itinéraire chargé sont bien visibles.

 

 

L’utilisation des cartes IGN apporte encore plus de précision.

 

Là où on reste déçu :
– la praticité sur le terrain (Les limites du tactile et d’une carte de très petite taille) notamment pour la navigation

– les fonctions de navigation de base manquantes (Trace back, aller vers un point dont on donne les coordonnées GPS, marquer un point spécifique sur l’application Viewranger)

– le GPS ne donne pas sa précision en mètre. Il faut télécharger une application Android.
– la lisibilité en pleine lumière, en revanche, à la nuit tombée, l’écran rétro-éclairé est parfait.

– la gestion de l’autonomie (le mode étendu ne correspond pas à une utilisation réaliste en montagne), et nécessite une gestion précise pour éviter que la montre ne se décharge totalement au bout de deux jours.
Le principe des trois modes est trop contraignant car il faut en permanence penser à adapter les paramètres et les changements de mode.

Cette montre reste un joli bijou connecté, CASIO a parfaitement intégré les fonctions Wear OS (assistant Google, musique embarquée, gestion des notifications, sms, mails, notifications facebook, whatsapp, Google map…) ainsi que la plupart des fonctions intéressantes en randonnée (carto, altimètre, boussole…).

 

 

On est souvent dans la situation où la montre est juste l’organe de commande d’une application sur le smartphone, il serait intéressant de disposer de plus d’applications STANDALONE comme Viewranger.

Les fonctions de navigation de base « aller vers un point défini par ces coordonnées » ou faire un « traceback » manquent cruellement, le concept même de la cartographie embarquée, malgré son excellente qualité, avec un écran de petite taille n’est pas sans contrainte et ne va pas dans le sens qu’on peut rechercher lors d’une sortie montagne : un outil simple et efficace.

 

"Cette montre reste un joli bijou connecté, CASIO a parfaitement intégré les fonctions wear OS. Mais on est souvent dans la situation où la montre est juste l’organe de commande d’une application sur le smartphone, il serait intéressant de disposer de plus d’applications STANDALONE comme viewranger."

Notes

  • 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
  • ERGONOMIE
    7
  • PRÉCISION GPS
    9
  • CARTOGRAPHIE
    9
  • AUTONOMIE BATTERIE
    5
  • FIABILITÉ BOUSSOLE
    9
  • FONCTIONS connectées
    9
  • NAVIGATION
    5

Poids

83

Note globale

7.57

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Nous avons utilisé cet équipement sur une longue période de temps
Voici ce que nous pensons après une utilisation intensive :

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